Reflexions sur le casino et autre

Word Count:
547

Summary:
A la question de la légitimité des casinos, je ne sais plus quoi répondre.


Keywords:
D'un cote, interdire le casino est une erreur car  sous mes airs de soixante-huitards je continue a penser qu'il est ‘interdit d'interdire'. D'un autre cote, je sais pertinemment qu'une société tout permis ne peut pas marcher et qu'elle peut mener facilement a un empirement de la société (et a ce jour elle n'est pas très bonne)

Il suffit d'allumer la radio et d'entendre que des jeunes filles se font violées,que des enfants se font tapes si pas eux aussi violes, que des vieux se font voles,que...encore une infinité d'atrocités.

Il suffit d'ouvrir le journal pour comprendre que notre société ne fait que se dégrader. Que nos petites filles se promènent a moitie nues, que de plus en plus de gens ne votent plus, que les enfants n'ont plus aucune éducation culturelle, que des jeunes filles couchent sans prévention et qu'un jeune de seize ans même pas leur fait gonfler le ventre en deux deux. 

A ce jour, consulter un psychologue n'est plus une honte. Une personne sur trois va chez le psy. Non, je n'irais pas jusqu'à dire que nous sommes tous devenus malades. Il est évident que notre société comprend simplement que mentalement aussi il faut se soigner.

Surtout dans notre société. Société ou tout est devenu ouvert, permis, légitime. Société peace and love qui viole et qui vole et qui tape et qui frappe. Société malade. Complètement malade. Qui ne sait plus rien. Qui ne suit plus aucune mœurs. Qui élève des enfants sans être élevé. Qui instruit les enfants en ayant oublié leur instruction. Qui dit espérer un enfant sain dans son corps et dans son esprit alors qu'un beau jour on découvre  que le père procède a des attouchement quotidiens avec sa fille a l'heure ou il lui lit gentiment le petit chaperon rouge et le grand méchant loup. Et surtout, il n'oublie pas de lui inculquer la belle morale : attention au méchant loup. 

Puis cette mère qui, a cause de je ne sais quelle mania dépression, un jour donne un câlin a son enfant et l'autre le frappe presque jusqu'au sang. Un jour elle vient le chercher a l'école et le lendemain elle lui dit qu'elle ne sait pas pourquoi elle l'a fait venir au monde et qu'il a qu'a rentrer avec la maman de Melissa (et elle rajoute ‘cette petite putain ‘)

Le soir même en rentrant avec la maman de Melissa, le petit Nicolas dit a la petite Melissa : « ma maman a dit que t'es une petite putain « . Et voila sur quoi nos enfants grandissent. Pas tous certains, mais voici le destin de bons nombres d'entre eux :

Voleurs,violeurs,menteurs, joueurs compulsifs,fumeurs, fous de sexe...Comme si Freud nous a pas averti d'assez de maladies psychologiques,notre société a décidé d'en mettre encore plein sur le tapis. 

Alors voulons nous encore une fois faire confiance a notre société ? Encore une fois tout permettre ? Donner la légitimité au  casino   et mener certains aux jeux compulsifs ? voulons nous nier notre responsabilité collective devant la responsabilité individuelle ? Et au nom de cette liberté individuelle, tout permettre.  




Article Body:
D'un cote, interdire le casino est une erreur car  sous mes airs de soixante-huitards je continue a penser qu'il est ‘interdit d'interdire'. D'un autre cote, je sais pertinemment qu'une société tout permis ne peut pas marcher et qu'elle peut mener facilement a un empirement de la société (et a ce jour elle n'est pas très bonne)

Il suffit d'allumer la radio et d'entendre que des jeunes filles se font violées,que des enfants se font tapes si pas eux aussi violes, que des vieux se font voles,que...encore une infinité d'atrocités.

Il suffit d'ouvrir le journal pour comprendre que notre société ne fait que se dégrader. Que nos petites filles se promènent a moitie nues, que de plus en plus de gens ne votent plus, que les enfants n'ont plus aucune éducation culturelle, que des jeunes filles couchent sans prévention et qu'un jeune de seize ans même pas leur fait gonfler le ventre en deux deux. 

A ce jour, consulter un psychologue n'est plus une honte. Une personne sur trois va chez le psy. Non, je n'irais pas jusqu'à dire que nous sommes tous devenus malades. Il est évident que notre société comprend simplement que mentalement aussi il faut se soigner.

Surtout dans notre société. Société ou tout est devenu ouvert, permis, légitime. Société peace and love qui viole et qui vole et qui tape et qui frappe. Société malade. Complètement malade. Qui ne sait plus rien. Qui ne suit plus aucune mœurs. Qui élève des enfants sans être élevé. Qui instruit les enfants en ayant oublié leur instruction. Qui dit espérer un enfant sain dans son corps et dans son esprit alors qu'un beau jour on découvre  que le père procède a des attouchement quotidiens avec sa fille a l'heure ou il lui lit gentiment le petit chaperon rouge et le grand méchant loup. Et surtout, il n'oublie pas de lui inculquer la belle morale : attention au méchant loup. 

Puis cette mère qui, a cause de je ne sais quelle mania dépression, un jour donne un câlin a son enfant et l'autre le frappe presque jusqu'au sang. Un jour elle vient le chercher a l'école et le lendemain elle lui dit qu'elle ne sait pas pourquoi elle l'a fait venir au monde et qu'il a qu'a rentrer avec la maman de Melissa (et elle rajoute ‘cette petite putain ‘)

Le soir même en rentrant avec la maman de Melissa, le petit Nicolas dit a la petite Melissa : « ma maman a dit que t'es une petite putain « . Et voila sur quoi nos enfants grandissent. Pas tous certains, mais voici le destin de bons nombres d'entre eux :

Voleurs,violeurs,menteurs, joueurs compulsifs,fumeurs, fous de sexe...Comme si Freud nous a pas averti d'assez de maladies psychologiques,notre société a décidé d'en mettre encore plein sur le tapis. 

Alors voulons nous encore une fois faire confiance a notre société ? Encore une fois tout permettre ? Donner la légitimité au  casino   et mener certains aux jeux compulsifs ? voulons nous nier notre responsabilité collective devant la responsabilité individuelle ? Et au nom de cette liberté individuelle, tout permettre.